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Affichage des articles du mars, 2011

Tizi Mlal

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Village de Tizi Mlal,Commune Ait toudert, Tizi ouzou (Algérie) Photo prise par Mohamed Arab BEN TAYEB

Ičča y aɣ wul nemmeč

Ičča y aɣ wul nemmeč Nečča tiyyta Ččan aɣ Ččan tamurt i ɣef nteddu Win ččan ččant wayeḍ sseččen-t wayeḍ tečča-t temda wissen acu n temda t-iččan Ččan aɣ nemmeč Ičča y aɣ wul aremmi nečča times Ččan aksum nneɣ Aksum n sen d ameṛṛɣan Ččan aɣ nemmeč tiyyta n sen tečča Awal nneɣ ur ičči Tiyyta nneɣ azekka ad tečč awal nnsen ur itett Ad xellṣen i yeččan d w'ur ččin Ičča y aɣ wul aremmi nečča times

Tighri imazighen n Libya i ilibiyen نداء امازيغ ليبيا لكل الليبين

Appel des Amazighs libyens à tous les Libyens

Manifestation à Yefren, une ville de Kalaa de Libye

Tala umazzar

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Photo prise par Mohamed Arab Ben Tayeb Tala u mazzar Deg at abdluhab di tghiwant n at tudert Tizi wezzu

Extraits d’un entretien avec Mouloud FERAOUN, paru en 1953 .

Propos recueillis par Maurice Monnoyer et publiés dans "L’Effort algérien" du 27 février 1953 Parlez-moi de votre premier roman... J’ai écrit Le Fils du pauvre pendant les années sombres de la guerre, à la lumière d’une lampe à pétrole. J’y ai mis le meilleur de mon être. Roman autobiographique, n’est-ce pas ? Oui... Je suis très attaché à ce livre, d’abord parce que je ne mangeais pas tous les jours à ma faim alors qu’il sortait de ma plume, ensuite parce qu’il m’a permis de prendre conscience de mes moyens. Le succès qu’il a remporté m’a encouragé à écrire d’autres livres. Que faisait votre père ? A l’époque de ma naissance, il était cultivateur. Mais, dès avant 1910, il avait dû quitter le sol natal pour chercher ailleurs du travail. En ce temps-là, les Kabyles n’allaient pas encore en France, mais dans le Constantinois. Par la suite, il se rendit dans les mines du Nord - à Lens, exactement - et de là dans la région parisienne. Il travaillait aux Fon

Ihalfiwen

Ul ifaḍ seg ḥalfiwen Iḥmel d isaffen Uɣen-d ṣṣuṛa-w tirni Am leqyud deg-i urzen Iḍaṛṛen ifassen Imeẓẓaɣ iles d yeẓṛi http://www.club-du-succes.com

L'ile des sentiments

Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris. Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'amour voulait rester jusqu'au dernier moment. Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?" "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi." L'Amour decida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau." La Tristesse étan

Aqli deg ixef n wedrar

Aqli deg ixef n wedrar Aqli deg ixef n wedrar ferrsegh inijjwal inta y i usennan wehdi Ḥadret w'ittamnen tuǧǧal lqum netteǧǧal ak t-ini awal ad t-tezzi Ak teg essem deg fenǧal tenɣ-ik mebla lmijal siwa ma iḥuder ik Ṛebbi Si Muḥ U Mḥend
Awtul xfif rnan-as iḍebbalen Tafṛuxt d tafṛuxt ar tarew d tayaziḍt Yuḍen wezger a teqqden aɣyul Ma trebḥeḍ medden akw inek ma teɣliḍ ḥed ur k-issin

Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones

Tabrat i ayetma

  بريد القراء   : Tabrat i ayetma محرر تابرات ي ايتما گ تامورت رسالة لـِ إخوتي في الوطن اسّو د اسّ نّغ، ولّيش تيمدوالـ هذا يومنا، لا عودة ولّيش تيرژي نـ تينزار لا لـِ إنكسار الأنوف سلّغ گـ تيليلّي د إيمالـ نـ إيكّار اسمع الحرية و مستقبل الصحوة د ؤل-يو سـ تودّرت يتشور د يفّار و قلبي يطير مليئاً بـِ الحياة تاگورا دفّر ايتما گـ تامروت د ادرغال اسير وراء إخوتي في الوطن مغمض العينيين ماليّك نسّن تاويزا د تابديت شا سـ اوالـ لأننا نعرف التعاون و التضامن ليس بـِ الكلام إيمولـ تيودي اي ايتما يكفي خوف يا إخوتي د تيدت اتّالي جار تابا و الحقيقة ترتفع بين الدخان ؤفوس گـ وفوس باشا اتدّر يمّا ( ليبيا ) يد في يد لكي تعيش أمي ( ليبيا ) إيمطّاون د إيدامّن نـ إيمغناسن تاوالين گـ ؤجنّا دموع و دماء المناضليين كلمات في السماء تاسوسمي ݑورو تيژاف الصمت انجبّ الصراخ ؤسّان نژّو ديسن امژرو ن تينفاس هذه الأيام التي زرعنا فيها تاريخ القصص ؤر انتّو ا بابا لن ننسى يا ابي ؤر اندج إيشالـ سـ إيغراس لن نترك تراب بـِ ذبحنا تامورت نـ إيمزوارن غرس ايتماس

Tafada n tfellaht (calendrier agricole) sghur Nechaf Ahmed

Discours prononcé par Martin Luther King le 28 Août 1963 lors de la marche de Washington

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Je suis heureux de me joindre à vous aujourd’hui pour participer à ce que l’histoire appellera la plus grande démonstration pour la liberté dans les annales de notre nation. Il y a un siècle de cela, un grand Américain qui nous couvre aujourd’hui de son ombre symbolique signait notre Proclamation d’Emancipation. Ce décret capital se dresse, comme un grand phare illuminant d’espérance les millions d’esclaves marqués au feu d’une brûlante injustice. Ce décret est venu comme une aube joyeuse terminer la longue nuit de leur captivité. Mais, cent ans plus tard, le Noir n’est toujours pas libre. Cent ans plus tard, la vie du Noir est encore terriblement handicapée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination. Cent ans plus tard, le Noir vit à l’écart sur son îlot de pauvreté au milieu d’un vaste océan de prospérité matérielle. Cent ans plus